Ni dans la langue de Machiavel, ni dans celle de Shakespeare.
Juste en français belge, vu que.
Je ne vais ni parler des petites fleurs, ni des petits oiseaux, ni, oh lalala, de l'amour.
Même pas de confitures, et encore moins de crochets.
Les passants non passants ne comprendraient pas.
Je pourais parler du Lézard, mais j'ai un creux de l'inspiration.
Mon coeur balance entre un retour d'énergie et une descente de lit.
Non, je veux dire, je sors d'en prendre d'une histoire.
D'amour, non, je vous dis, je ne parlerai pas d'amour ou de désamour et surtout pas de haine.
Non, une histoire.
Toute une histoire.
Mais pas racontable donc, il faut passer à autre chose.
D'où le retour d'énergie.
Alors, y a des options.
Ou pleurer des rivières.
Ou corriger un livre, le mien.
Ou recommencer à dessiner, virtuellement ou réellement.
Ou m'occuper du jardin.
Ou m'occuper de la maison.
Ou jouer à des jeux stupides.
Ou.
Ou.
Ou.
Options à remplir plus tard, car à court, juste là, maintenant.
Où tout cela à la fois.
Trouver un plan dans cette galaxie pour faire des tunes pour pouvoir parce que moi vouloir, visiter amis pour passage du virtuel au réel....
Trouver un plan dans cette galaxie pour être un peu hors des plans foireux où la bienveillance est prise pour de la tartignolerie.
Bon, voilà, c'était histoire de voir si j'étais encore capable de mettre quelques mots bout à bout.
En espérant qu'ils aient un certain sens, tout de même.
A vous de juger.
